Qui suis-je ?
Je m'appelle Alexandre et je suis originaire du Cotentin. Un normand pur beurre. Enfin, ça c'est ce que je croyais avant de découvrir la généalogie en 1999.
Cette année-là, j'ai commencé les recherches sur ma famille. C'est aussitôt devenu une passion. Je me rendais dans les mairies, les archives départementales et même les cimetières, à la recherche d'informations sur mes aïeux.
Au fil des années, mon arbre s'est étoffé et je me suis notamment découvert des ancêtres dans les Cévennes, en Savoie, en Bretagne et dans le Poitou. Mon arbre compte désormais plus de 4000 ancêtres en ligne directe (sans compter les collatéraux), principalement grâce aux registres d'Etat-civil et paroissiaux (naissances, mariage, décès). La plupart des branches remontent jusqu'aux années 1700, de nombreuses autres jusqu'aux années 1630-1640 et quelques-unes jusqu'aux années 1580 voire avant.
Chaque découverte me donne toujours la même satisfaction. Plus que de simples noms, ce qui m'intéresse sont toutes les « petites » informations que je peux découvrir sur mes ancêtres, qui m'aident à en savoir plus sur leur vie mais aussi sur la vie à leur époque.

Par exemple, pêle-mêle :
- Leur métier : laboureur, potier, couvreur de paille, fileuse, notaire,…
- La famille : le nombre d’enfants par foyer, la mortalité infantile, les nombreux remariages pour veuvage,…
- La popularité des prénoms selon l’époque ou la région: Pierre, Marie et Adèle dans les années 1800, Guillemine et Nicolas dans les années 1600,…
- La géographie : quelle surprise de découvrir qu’un ancêtre s’est marié à 325 km de son lieu de naissance en 1781 !
- La description physique via le registre matricule, lorsqu’on découvre qu’un ancêtre né en 1786 a combattu dans l’armée de Napoléon
- Quand notre histoire familiale nous permet de consulter des actes liés à des faits divers célèbres ; cas d’ancêtres ayant vécu dans un village touché par le bête du Gévaudan au XVIIIè siècle
- Des branches nobles
- Le patrimoine ou l’absence de patrimoine des aïeux
- Et bien d’autres encore.
Je me suis rendu compte que ces travaux intéressaient de nombreuses personnes, curieuses d’en savoir plus sur celles et ceux qui les ont précédées. J’ai donc ensuite fait des recherches pour des proches.
Je suis par ailleurs titulaire d’une licence de droit et d’un master d’histoire, lors duquel j’ai été formé à l’étude de la paléographie moderne, à la fois française et anglaise. J’ai donc acquis au cours de ces 25 dernières années de nombreuses compétences que je mets à votre disposition pour vous accompagner dans ce voyage à travers le temps. N’hésitez donc pas à me contacter pour toute demande.
